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Anne Ancelin Schützenberger Biographie Anne Ancelin Schützenberger, née en 1919 (nationalité Française), a grandi à Paris (France) où elle habite toujours. Elle y a suivi ses études des petites classes à l’université : Bac maths et philo, maths géné, début d’études scientifiques (suspendues en 1937) puis Licence en Droit, Doctorat en Psychologie et Doctorat es Lettres (Doctorat d’État). • Pendant la guerre elle participe à la Résistance : • Lauréate du 3° International Soroptimist Award en 1946, elle reçoit aussi une bourse Fullbright pour se spécialiser en psychologie sociale et dynamique des groupes aux États-Unis en 1950-1952. • Ann Arbor (Michigan) au Research Center for Group Dynamics, et avec le “Social Psychology Program” (programme universitaire interdisciplinaire post graduate)avec stage de longue durée au N.T.L. (National Training Laboratory in Group Development) à Bethel (Maine, USA, 1951), et plusieurs stages à l’Institut Moreno (Beacon, NY) 1951 et 1952. • Anne entreprend à Paris une psychanalyse classique de longue durée avec l’anthropologue Robert Gessain, puis avec Françoise Dolto. • Anne Ancelin Schützenberger a été formée : • Elle a participé comme stagiaire puis comme chercheur aux recherches du C.E.R.P (Centre d’Études et Recherches ¨Psychotechniques) dépendant du Ministère du Travail (ANIFRMO) et du C.N.R.S • Anne crée avec Gérard Milhaud et quelques étudiants le Bulletin de Psychologie des Étudiants de l’Université de Paris (1947-48), qu’elle avait animé, et dont elle avait assumé les fonctions de rédacteur en chef avec André Kirschen, puis seule jusqu’à son départ en Amérique. • Anne participe à l’organisation du Council pour la création d’une association internationale de psychothérapie de groupe, depuis 1950, puis co-fonde l’Association Internationale de Psychothérapie de groupe (IAGP). Première secrétaire générale, puis vice-présidente, et depuis 2003 “archiviste honoraire”. • Elle devient à la fois Professeur d’Université (titulaire de chaire et s’occupant d’un laboratoire de recherches), group-analyste et thérapeute de groupe, et aussi consultant pour les Nations Unies. • Dans les années 1970, elle commence à s’intéresser aux méthodes complémentaires de soins aux malades atteints de cancer et d’aide psychologique aux malades et à leurs familles. Elle publie “Vouloir guérir” en 1985 et commence à soigner des malades atteints de cancer en phase terminale, dont certains vivent encore. Elle participe à la “Consultation Nationale sur le cancer”. • Professeur émérite de l’Université de Nice où elle dirigeait depuis 1967 les recherches du laboratoire de psychologie sociale et clinique, elle anime depuis des séminaires et des formations à travers le monde dans les cinq continents. • Dans sa 83e année en ce début de millénaire, elle participe jusqu’en 2004 au nouvel “Institut La Source” (Paris, Lausanne, Bruxelles, Sherbrooke au Québec) et elle y enseigne le psychodrame en groupe de longue durée, sous sa propre responsabilité comme formateur international TEP. • Par ailleurs, elle avait créé avec Armelle Thomas Benesse l’École Française de Psychodrame, (administrée par l’IF.E.P., Paris) Elle continue l’enseignement et le perfectionnement au psychodrame et aux méthodes de groupe. • Dans sa 84e, elle devient un best-seller avec Aïe mes aïeux ! • Dans sa 85e année, elle enseigne le transgénérationnel en Australie, Argentine, Suède et Portugal. • Elle publie deux nouveaux livres Le Psychodrame, et avec le Docteur Ghislain Devroede, Ces enfants malades de leurs parents. (2005, édition élargie, Paris, Payot, Petite Bibliothèque Payot [poche]). • Dans sa 87e année, elle diminue ses voyages, cesse d’enseigner à l’Université, et étend sa formation sur la clarification des liens transgénérationnels, les secrets de famille, la loyauté familiale invisible et des deuils non faits de pertes diverses personnelles et familiales. les tâches inachevées : les deuils non faits et les pertes diverses, en particuliers : La spécificité et donc la puissance du travail d’Anne Ancelin Schützenberger tiennent à son attention particulière au contexte. La richesse de son approche tient à la variété de ses éclairages : psychologie, psychanalyse, psychologie sociale, anthropologie culturelle, thérapie familiale et communication non verbale (langage du corps et utilisation de l’espace “corps, espace, temps”). |
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